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Chioggia hier et aujourd'hui




Chioggia est une ville italienne, d'environ 52 000 habitants située dans la province de Venise en Vénétie, dans le nord-est de l'Italie.
L'île de Chioggia et Sottomarina a été formée par les alluvions du fleuve Bacchiglione avant que celui-ci soit détourné, conjointement au fleuve Brenta, par le canal Pontelongo vers le sud de la cité jusque dans l'Adriatique.
Avec cavallino-Treporti, Lido et Pellestrina, Sottomarina forment le cordon littoral de la lagune de Venise.

C'est un port de pêche et un port marchand débouchant sur la mer Adriatique. D'une largeur de 400 m, c'est l'un des trois ports de la lagune avec Malamocco et Lido-San Nicolò concerné par le Projet Mose de sauvegarde de la lagune.

Au sud, la limite de Chioggia est marquée par l'embouchure commune aux fleuves Brenta et Bacchiglione.
L'accès terrestre à la cité se fait par la Roméa, route S309 qui relie Ravenne à Mestre.
L'accès maritime se fait par Vaporetto de Chioggia à Pellestrina, puis par bus jusqu'à Lido (Venise) et enfin par vaporetto jusqu'à Venise (Place San Marco).
Liaisons maritimes estivales par bateaux vers la Croatie.

Bien que sans grande importance à l'époque, elle est mentionnée par Pline l'Ancien, comme fossa Clodia. Elle fut détruite par Pépin d'Italie, au IXe siècle, mais reconstruite autour de l'activité des marais salants. Elle est connue à l'époque, comme Clugia major, Clugia minor, désignant le banc de sable six cent mètres plus loin dans l'Adriatique, abandonné depuis 1370, mais où sera par la suite construit Sottomarina.

Au XIVe siècle, elle fut le théâtre de la lutte entre Venise et Gênes, au cours de la guerre portant son nom. Par la suite, bien qu'autonome, elle fut toujours subordonnée à Venise.

Chioggia fait partie de la République de Venise jusqu'en 1797, quand elle est tombée aux troupes de Napoléon Bonaparte.

Après le traité de Campoformio, en 1798, la ville fut prise par l'Autriche jusqu'en 1866, quand elle a été intégrée à l'État italien naissant après la troisième guerre d'indépendance. Malgré les revers militaires subis par les forces italiennes, à l'exception notable des troupes de Garibaldi grâce à une alliance avec la Prusse, le gouvernement autrichien a été contraint de céder une partie de la Vénétie.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale la ville est menacée par les bombardements de l'aviation alliée. C'est seulement grâce à une révolte des citoyens que les nazi-fascistes sont arrêtés le 27 avril 1945 et la ville libérée par les forces alliées.





Chioggia constitue une réplique miniature de Venise, avec quelques canaux, dont le principal est le Canale Vena, et des rues étroites caractéristiques, les calli, les trois autres canaux sont: le canal Lusenzo, canal Lombardo et canal San Domenico.

    Le Pont Vigo, le plus beau et artistique des 9 ponts qui enjambent le canal Vena. Construit en pierre en 1685 pour remplacer celui en bois détruit durant la guerre de Chioggia de 1378. Ce pont, comparé au Pont du Rialto de Venise, marque l’entrée dans la lagune et conduit à la place Vigo (piazza Vigo) dominée par une colonne de marbre grecque surmontée d’un chapiteau byzantin du XII siècle sur lequel se dresse le majestueux lion, symbole de la puissance de Venise.
    La Piazza del Popolo (place du peuple), centre de la cité, où l’on peut admirer la façade baroque et le campanile vénéto-byzantin du XII siècle de l’église Sant’Andrea. Sur cette même place le Grenier, construction comprenant un étage soutenu par 64 colonnes, témoigne du passé commercial de la cité.
    La cathédrale Santa Maria Assunta, la principale église de la ville.
    L’église de la Trinité de 1528, l’église San Francesco de 1454, l’église San Martino de 1392, l’ancien Mont-de-piété de 1485, la Porte Garibaldi, le Musée civique de la lagune sud.
    La plage de sable fin de Sottomarina, longue de 10 km et large, en certains points, de 300 mètres.



Découvrir Chioggia par le cinéma
  


          Le premier long métrage d’Andrea Segre, "Io sono Li", a été primé au dernier Festival de Venise à la journée des auteurs.
La romance d’une jeune immigrée chinoise, Shun, qui travaille comme barman dans une trattoria de pêcheur à Chioggia. Elle essaye d’obtenir les documents pour faire venir son fils de huit ans en Italie. Elle se niche sous la protection d’un vieux slave, Bepi, pêcheur depuis 30 ans dans la lagune, surnommé « le poète ». On y découvre la mentalité des gens d’ici et leur vie au quotidien, bottes au pied pour affronter les nombreuses ‘acqua alta, de cette mer qui monte. Un film d’une grande sensibilité, à la rencontre de deux cultures sur la lagune silencieuse.
IO SONO LI d’Andrea Segre (Italia, Francia, 96', v.o. italien) avec Zhao Tao, Rade Sherbedgia, Marco Paolini, Roberto Citran et Giuseppe Battiston






Les photos, elles ne sont pas les miennes, je les ai trouvées sur internet!









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Je suis l'un de ceux qui un jour sont tombés amoureux de Venise et je voudrais partager avec vous ma passion et les photos que j'ai prises pendant mes voyages à Venise.
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